LITTÉRATURE EN SCÈNE : à Marrakech, Jacques Victor RAPHAEl
Le 4 juillet dernier, dans les murs lumineux de l’École Supérieure des Arts Visuels(ESAV) de Marrakech, une scène rare s’est jouée. Pas un vernissage. Pas une conférence. Plutôt un basculement : celui d’un livre qui, au lieu de simplement “paraître”, a pris corps, parole, et puissance collective.
Le livre en question s’intitule L’ULTIME PARTIE DE L’INVINCIBLE, signé Jacques Victor RAPHAEL, entrepreneur, penseur stratégique, auteur engagé, et figure montante de la scène intellectuelle panafricaine. Son ouvrage, fruit de cinq années de réflexion, fait le pari audacieux de penser la vie comme un jeu — un jeu sérieux, parfois cruel, mais toujours stratégique.
UN LIEU QUI PROJETTE UNE VISION
Oubliez la bibliothèque feutrée. Pour son lancement, Jacques Victor a choisi l’ESAV, la plus grande école d’art visuel de Marrakech. Un symbole fort. Ici, la lumière est un métier, l’image un langage, et la vision un art. Pour lui, ce n’était pas un simple cadre esthétique, mais un acte réfléchi : « La vision, disait-il, doit elle-même être un art, une projection maîtrisée de notre trajectoire. »
Ce soir-là, plusieurs invités. Pas un hasard. Ingénieurs, médecins, enseignants, dirigeants, artistes, étudiants… La société en réduction. Et surtout, des partenaires venus donner chair au message du livre :
« Une école accréditée ECOSTIG qui forme des bâtisseurs– c’est la stratégie du savoir.
Un centre d’appel où chaque mot est une arme– c’est la stratégie de la voix.
Un concessionnaire de voiture qui donne des ailes– c’est la stratégie du mouvement.
Une imprimerie transforme les idées en acte immortel– c’est la stratégie de la trace.
Un label musical où chaque vibration laisse une émotion– c’est la stratégie de la fréquence.
Et un salon de beauté – c’est la stratégie de la présence. »
UN AUTEUR DEBOUT FACE AU RÉEL
Mais le moment le plus saisissant de la soirée fut peut-être celui que personne n’avait anticipé : l’échange avec le public. D’abord prévu pour une heure, il durera 2h30, tant l’engagement des présents était intense. Là encore, l’auteur surprend : pas de table, pas de notes, il se tient debout, face à la foule, sans esquive.
« Si les réponses ne sont pas en nous, elles sont avec nous. »
Avec une lucidité tranquille, il traverse chaque question, sans détour ni formule creuse. Loin de l’intellectuel cloisonné, Jacques Victor joue son message jusqu’au bout : il s’engage, il dialogue, il ose. Son livre, il le défend non par posture, mais par cohérence.
PLUS QU’UN LIVRE, UN PACTE
Ce 4 juillet, à Marrakech, L’ULTIME PARTIE DE L’INVINCIBLE est devenu bien plus qu’un ouvrage. Il est devenu un espace de résonance sociale, une invitation à réconcilier stratégie, humanité, art et action. Et dans un monde où les livres peinent parfois à trouver leur place, Jacques Victor nous rappelle une chose : lorsqu’un livre est vivant, il ne se lit pas seulement. Il se rencontre.
Rédigé par Karima de Aswat presse.
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